Cette huitième saison se présente dans un coffret à la palette grisée composé d'un fourreau cartonné dans lequel s'insèrent 3 boîtiers slim doubles. Au recto, Booth et Brennan en tenues classes noires semblent faire les idiots avec les ossements de deux bras et une mandibule. Sur l'autre face, nous les retrouvons tout sourires assis sur une malle en pleine nature avec un crâne à leurs pieds. Cinq vignettes occupent également une partie de l'espace dans lequel se bousculent la présentation de la saison, son synopsis, les spécificités et la liste des bonus.
Cette fois-ci, ce n'est plus seulement le duo d'enquêteurs qui est mis en avant sur les jaquettes des boîtiers mais bien toute l'équipe de l'Institut Jefferson avec un couple sur chacune d'entre elles. Jouant sur une quasi-continuité entre les trois visuels, le décor noir et blanc en arrière-plan est constitué de tableaux et d'étagères remplies d'un bric-à-brac de savant fou : matériel scientifique, animaux empaillés ou conservés dans des bocaux, crâne, boîtes, flacons, ... et même biberon et cubes pour enfants. Au dos, des schémas anatomiques ressortent légèrement du fond gris sur lequel sont affichés la liste et le synopsis des épisodes ainsi que les éventuels bonus, avec le petit crâne que l'on voyait déjà au dos du fourreau. Du côté de la sérigraphie, pas de personnages mais de nouveaux schémas du squelette humain sont utilisés.
L'authoring n'a pas bougé d'un iota, les menus figés et l'absence d'accompagnement musical font toujours bel et bien partie du jeu. Nous retrouvons un design de type informatique dans les tons grisés parsemé de représentations de squelettes en arrière-plan. Au menu principal, les choix habituels sont donnés : lecture consécutive, liste des épisodes, configuration (langue et sous-titrage) et bonus. Chaque page affiche une capture d'un personnage dans l'hexagone du logo et la liste de sélection à côté dans un encadré gris. Seuls les sous-menus des épisodes diffèrent quelque peu car ce sont des crânes qui les illustrent. En résumé, il n'y a donc pas de nouveauté, tout cela est mou et bien trop facile.